Voilà l'été voilà l'été ohé
Je me suis pris un week end prolongé de blog, pas totalement par volonté, ah les joies du hotspot neuf… Mais je reviens avec masses d’aventures à vous conter !
Hier je suis allée à M.A.R.S. rejoindre Laurianne pour pique niquer sous les sunlights des tropiques au bord de l’eau.
Mais le rêve ne devient pas toujours réalité et alors que je m’élançais dans les vaguelettes méditerranéennes telle une naïade malibuesque, je fus coupé dans ma liesse par la température de l’eau.
18°C mesdames messieurs. Un 21 juin. A Marseille. MAIS DE QUI SE MOQUE T-ON ??
Remboursez nos maillots de bain !
Je peux vous dire que le prochain sudiste qui me fait une remarque sur la température de l’océan en Bretagne, je lui fais bouffer ses tongs !
Bon. C’était quand même chouette de se baigner, il faut avouer.
Et de rôtir allongée sur la serviette, avec une petite brise fraiche qui vous empêche de sentir qu’il serait temps de remettre de la crème solaire si on ne veut pas finir avec des cloques sur tout le corps (‘achement moins classe que la peau bronzée caramélisée).
On a évité les cloques mais soyons honnêtes, j’ai les cuissots un peu rougeots. C’est pas grave, ça va se transformer en bronzage (et là t’as toujours un rabat joie « Ca va surtout se transformer en cancer… ‘fin bon, moi j’dis ça… »).
Laurianne, avant sa période rouge (comme Picasso mais en plus douloureux).
Ensuite nous avons migré à la fête du Panier (le Panier est un quartier marseillais tropmignonchoupinounichou qu’on dirait un village et qui a inspiré le Mistral dans Plus Belle la Vie) pour attaquer l’apéro. Faut pas déconner, il était déjà 17h, ce serait pas le coup de se mettre en retard.
C’est en revenant d’un stand, ma 3ème caïpirinha à la main (trop bon ce truc, une belle découverte), que je me suis rendue compte que mon portable avait décidé de se faire la malle et de faire la fête de la Musique tout seul. Je comprends un peu, c’est vrai que c’est toujours pénible de suivre les uns les autres quand on a pas les mêmes goûts musicaux. Faut croire que mon portable n’aimait pas le rock klezmer.
Sachant que j’étais en compagnie de deux personnes qui s’était fait cambrioler leur appart deux jours plus tôt, j’ai évité de chouiner ma mère pour un si petit objet.
Rien à voir mais ce week end, si je n’ai pas pris le temps de blogguer, j’ai quand même pris le temps de me créer un compte Twitter. Depuis le temps que ça m’intrigue, j’ai franchi le pas (et puis aussi car je tiens à rester djeuns et branché et Twitter ils en parlent même dans la saison 5 de Desperate donc bon).
Par contre je vous dit pas comment j’en ai ch** pour trouver une URL libre… D’habitude j’ai pas de problème grâce à mon prénom (je n’ai notamment pas eu à me réveiller à 6h le 13 juin pour réserver mon URL facebook) mais là, « klervi » « klé » « kléklé » « kabé » tout était pris ! J’ai finalement opté pour mon nom d’artiste ( !).
Je suis pas sure d’y rester bien longtemps, le temps de comprendre l’intérêt de la chose (qui, je pense, est de ne pas en avoir) (ce qui, j’en ai bien peur, risque de fort me plaire) donc feel free to follow me on http://twitter.com/vikler.
Même si les termes « suiveurs » « suivis », qui ne sont pas sans rappeler Brel et les moutons de Panurge, ne me plaisent guère.
Et vous ? Vous twittez ?!
PS : Je ne me remets pas de ce commentaire made in Télérama sur le téléfilm TF1 de ce soir « Vive les vacances » : « La perspective de passer plus de 2h en compagnie de Titoff inciterait plutôt à retourner au travail ».
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