Ardèche, Part 1
Mercredi dernier j’ai pris le train à 7h du matin pour aller en Ardèche. Je me suis donc levée à 5h30. En m’étant endormie à 3h. Je ne vous conseille pas. Et puis j’ai pris un TER pour aller de Nantes (Loire-Atlantique) à Pierrelatte (Drôme). Je ne vous conseille pas.
Mais en arrivant, Lucie et moi même furent tellement émerveillées par la qualité de l’accueil dans cette charmante bourgade que nous avons oublié instantanément tous les désagréments du voyage (et le fait que personne ne nous attendait à la gare) (passons).
En plus on a eu le droit d’aller en avant première dans le gîte pendant que les autres faisaient les courses. On était bien contentes.
Pom pom pom. Une fois qu’on a fait le tour du propriétaire, qui nous a certes pris une bonne heure, comment est ce qu’on s’occupe dans un hameau ardéchois sans marchandises apéritives ??
La triste vérité messieurs dames c’est qu’on joue au mikado (non mais sans déconner, vous vous souvenez à quel point c’est pourri ce jeu !?) et qu’on casse 4kgs de noix pour passer le temps.
Heureusement, après quelques heures d’attente, ils revinrent, les joues rosies par le froid et les bras chargés de victuailles.
Cette première soirée posa les bases du running gag du séjour grâce au « Carnet de bord de la Maison Bleue ».
Pas la peine de vous expliquer à quel point on a ri en le lisant.